Dernières questions

• Comment a-t-on décidé d’appeler une planète Neptune ?

  29 avril 2010, par Pierre-André Tissot

  Salut Eve-Sarah,
  Impossible de te répondre, je peux seulement t’indiquer ici l’historique de sa découverte. On a sans doute décidé de continuer, pour le nom des planètes, à utiliser les noms des dieux romains ou grecs, comme Mars, Jupiter, Mercure, Venus.
  Voici l’historique de sa (…)

• A quelle date Saturne et Neptune s’additionnent-elles ? Comment le calculer, où le trouver pour n’importe quelles planètes ?

  29 avril 2010, par Paul Berger

  Bonjour Aurore,
  Quand tu dis que Saturne et Neptune s’additionnent, je suppose que tu veux dire que Saturne et Neptune se trouvent très proches l’une de l’autre dans le ciel et que leur lumière s’additionne. En astronomie, cette situation particulière se nomme une conjonction planétaire. (…)

• Quel ancien scientifique avait remarqué la fameuse Grande Tache rouge de Jupiter ?

  29 avril 2010, par admin. Marc Brodard

  Salut Pierre-Luc,
  C’est le physicien anglais Robert Hooke (1635-1703) qui a observé le premier la Grande Tache Rouge de Jupiter en 1664. Cette tache ovale est située dans l’hémisphère Sud de Jupiter, elle mesure environ 40’000 km. Il s’agit de l’oeil d’une énorme zone de tempête. Pour ton (…)

• Quelle est la plus grosse planète du système solaire ?

  29 avril 2010, par Roland Boninsegna

  Bonjour Samuel,
  La plus grosse planète du système solaire s’appelle JUPITER. Elle est si grosse que 1400 Terres pourraient y trouver de la place. C’est comme si tu comparais entre une tête d’épingle (la Terre) et une grosse bille (Jupiter). Bien sûr, le plus gros corps du système solaire est (…)

• Quelle est ta planète préférée ?

  29 avril 2010, par Colin Bosworth

  Bonjour,
  Ma planète préférée est sans doute Jupiter. En effet, la planète géante, déjà remarquable en soi, trône au centre d’un système de lunes spectaculaires ! Il y a au moins dix-sept lunes en tout - et quatre qui sont visibles avec des jumelles ou un petit télescope. Io, la sulfureuse, (…)